Afin d’obtenir une fraction de parlementaires suffisante pour déclencher cette procédure, ou, à défaut, d’obtenir un maximum de votes contre le CETA lors d’un éventuel examen d’un projet de loi de ratification (annoncé pour l’automne 2018), il est primordial de faire bouger un nombre significatif de parlementaires (députés et sénateurs).
Après publication du plan d’action gouvernemental pour la mise en œuvre du CETA - la toile de fond de la bataille actuelle - nous avons commencé par une première interpellation généraliste auprès de toutes les familles politiques confondues (sauf FN).
Pour aller plus loin, il est maintenant indispensable d’agir sur chaque famille parlementaire de façon différenciée en s’appuyant sur les thématiques auxquelles elles sont les plus sensibles, par conviction et/ou du fait de la composition de leur électorat. Nous ciblons trois familles à convaincre : les LR, les LREM, les Constructifs et le Modem confondus, le PS (nous ne nous adressons ni à LFI ni au PC car ce n’est pas nécessaire, ni au FN par principe).
Les actions proposées sont doubles : elles consistent à interpeller chaque parlementaire mais aussi à s’adresser aux forces de la société civile auxquelles il est potentiellement sensible de façon à ce que celles-ci se retournent aussi vers le parlementaire.